Ouais. De retour. J'étais en "vacances" et j'ai rencontré des gens, et pas mal de gens dont des filles, des jolies filles, des sacrés bouts de chair. Non, non, je ne suis pas vulgaire, je ne suis pas un petit con qui considère les filles comme de la viande prête à être consommée. Juste, qui pourra ma jeter la pierre, enfin je veux dire ouais quoi, qui n'a pas dans la tête une putain de partie de jambes en l'air quand on voit passer un truc bandant ?
J'avoue j'avoue, j'ai largement profité de ma gueule d'amour, dixit quelques unes de mes conquêtes. Ah et puis non, je ne vous dirais pas où je suis parti, je tiens à ma vie privée, hého. Bref, je suis rentré, mon appart pue encore la vieille fumée et mon lit me semble bien vide après toutes celles que j'ai cotoyées pendant ces vacances. Y a pas à dire, l'été ça a du bon. Entre les hormones qui s'agitent, les cuisses qui se découvrent et les langues qui se délient, je commence à t'oublier, petite pute. Ben ouais, je crois que j'ai besoin de baiser pour t'oublier. Parce que malgrè tout, t'étais un bon coup.
Putain tu fais chier. Non je ne suis pas bourré, pas encore. Juste fatigué et la fatigue aussi me fait devenir vulgaire. En fait si, je reviens sur mes mots, je SUIS vulgaire. Et toi aussi. Jamais entendu autant de saloperies dans une si jolie bouche.
Je suis tout de même désolé de t'avoir plaquée comme une moins que rien mais tu comprends, je pouvais pas. T'étais trop toi. T'étais trop comme moi, une petite connasse vénale.
Je vous emmerde, toi et ton joli cul.
Et alors elle, c'est fou ce qu'elle est bandante, avec cette coupe.
Flore, recoupe toi un peu les cheveux, que tu lui ressembles un peu plus.
Hinhinhin.